It’s a sin (série France 2 – 2024 ) : le sida dans les années 80, résumé et critiques !
It’s a sin la série britannique débarque sur France 2 le lundi 18 mars 2024 : découvrez les images et les avis sur cette série évènement de Russell T. Davies. Que vaut cette série évènement ?
France 2 programme It’s a sin le lundi 18 mars 2024 avec les 5 épisodes à la suite dès 21H10. Diffusée dans le cadre des 30 ans du Sidaction, elle plonge dans le tourbillon des années 1980 à Londres, marquées par l’arrivée du VIH. It’s a Sin raconte l’arrivée à Londres, en 1981, de trois jeunes garçons ne se connaissant pas qui vont commencer leur vie d’adulte alors que le virus du sida se propage dans la communauté gay. La série a reçu de nombreuses critiques positives, elle a même été lauréate de nombreux prix (Festival de Monte-Carlo, Banff Rockie, Edinburgh International Television Festival, British Academy Television Craft Awards…). A noter que It’s a sin a généré 18,9 millions de vidéos vues en moins de 2 mois sur All 4, la plateforme de Channel 4, battant le record de visionnage début mars 2021.
Côté casting dans la série on retrouve Olly Alexander, Omari Douglas et Callum Scott Howells. Keeley Hawes (Bodyguard), Neil Patrick Harris (How I Met Your Mother), Lydia West (Years and Years), Nathaniel Curtis et Stephen Fry.
1ère diffusion It’s a sin en 2021 sur Canal +
Canal + programme la mini-série It’s a sin les lundi 22 mars et lundi 29 mars 2021. La saison 1 comprend 5 épisodes de 52 minutes. La série a été créée et écrite par Russell T Davies à qui on doit notamment la série gay Queer as Folk. Pas de saison 2 It’s a sin prévue pour le moment.
Synopsis : It’s a Sin se déroule à Londres en 1981 et explore l’amitié et l’amour à l’épreuve de la crise du sida à travers le parcours de Ritchie, Roscoe et Colin.
La BO de la série nous invite à la fête avec les années 8° dont Love Will Tear us Apart de Joy Division, Tainted Love de Soft Cell ou encore la chanson des Pet Shop Boys « It’s a sin » (traduction C’est un pêché).
Bande annonce de la série It’s a sin :
Les critiques de la presse pour It’s a sin + téléspectateurs
Tv Grandes Chaines donne 3 étoiles pour cette série pleine de vie et de personnages attachants, des épisodes entre rires et larmes.
7777 pour Télé 7 jours, on a une série bouleversante en forme de triste et immense gueule de bois, au lendemain d’une fête bien trop arrosée qu’ont été les années pré-Sida à Londres. Une célébration des morts mais aussi de la vie.
Télé Cable Sat donne 4 étoiles pour ce chef d’oeuvre inoubliable. « Cette mini série embrasse toutes les complexités de son sujet qu’elles soient historiques, politiques ou intimes tout en ayant une puissance émotionnelle dévastatrice ».
Les internautes aussi adorent la série :
@Danyalexandre 3 écrit « C’est à la fois drôle, touchant, dramatique, et profond. C’est un très belle série, qui vise parfaitement juste a ce qu’il se passe a cette époque. Et va frontalement contextualiser le tout. Pour moi, c’est très dur de regarder cela, tant je me rapproche du perso de Ritchie. »
@maximuduchesne écrit : « MAGNIFIQUE SÉRIE #ItsASin Visage pleurant à chaudes larmesÉtoile moyenne c’est vrai, beau, émouvant et réaliste (enfin !!!)
c’est aussi un nécessaire devoir de mémoire, parce que notre histoire est tragique et douloureuse… elle mérite d’être racontée ? »
Je ne parlerais pas de la série que je n’ai pas encore vu mais je me pose des questions sur la politique de diffusion des chaînes de télé. Pourquoi balancer en une seule soirée les 5 épisodes à la suite ? En plus en semaine quand peu de gens peuvent rester veiller jusqu’à 1h du matin passée… Ca oblige les gens à regarder les derniers épisodes en streaming.
Ca arrive de plus en plus souvent que des séries de qualité soient ainsi expédiées à la va vite en 1 ou 2 semaines. Par contre pour leurs propres « créations » (qui sont souvent d’ignobles bouses) alors là c’est pas la même chose, on en bouffe pendant 6 semaines à raison d’1 ou 2 épisodes par semaine.
@ Marco. Tout à fait d’accord avec vous. C’est sacrifier ce qui est intéressant. France Télévision le pratique de plus en plus pour certaines séries, celles qui ont peu d’audience pour s’en débarrasser ou de bonnes séries. Par contre Les Pennacs on en a bouffé pendant plusieurs semaines et La Peste avec seulement quatre épisodes, ce fut deux soirées (de cauchemar) ! C’est la même chose sur TF1 avec l’affaire Jacob Barber, cinq épisodes le second jeudi. C’est indigeste et c’est un manque de respect vis-à-vis des oeuvres autant que des téléspectateurs.
Oui, tout à fait Jackie c’est un manque de respect pour le téléspectateur. D’autant plus que tout le monde n’a pas accès au replay.
– L’affaire Jacob Barber : 3 épisodes la première semaine, 5 épisodes la deuxième ! Fin du dernier épisode à 1h35 du matin !
– Easttown : 3 épisodes la première semaine, 4 épisodes la deuxième ! Fin du dernier épisode à 1h50 du matin !
Et là ils nous font la même chose avec « It’s a sin »…
Par contre pour « Léo Mattéi » là il n’y a pas de problème pour le diffuser pendant 4 semaines !
J ai vu cette série il y a 3 ans et ça reste une des meilleures séries que j ai vu ces dernières années. Mais quelle dommage de la diffuser en VF. On peut la mettre en VO mais quand on met les sous-titres il y a tous les bruits sous titrés « claquement de porte » , baillement, soupir…c ‘est dommage . La musique est géniale et même si c’est triste il y a des moments droles et on ne s ennuie pas une seconde. Perso j ‘ai regardé tous les épisodes d’un coup
@sand tout à fait d’accord avec vous Excellente série. ça reflète parfaitement bien l’état d’esprit des gens à l’époque .j’appréhendais un peu la diffusion de tous les épisodes d’un coup (ça s’est terminé à 1 heure du matin) . je dois dire que je n’ai pas vu le temps passer . tous les comédiens étaient excellents.
Très bonne série en effet (je n’ai regardé pour l’instant que les 3 premiers épisodes, je n’aime pas trop le « binge watching » et puis ça finissait trop tard). C’est une vision réaliste des années 80, c’est à la fois drôle et dramatique. Il n’y a pas non plus d’angélisme par rapport au déni de la communauté gay au début de l’épidémie. Ca aborde plein de sujets, de l’isolement des malades jusqu’au black out total des autorités de l’époque et le fait que les militants devaient se débrouiller tous seuls pour avertir la population.
Tous les comédiens sont très bons.