L’art du crime saison 7 (France 2 – 2024) « la muse perdue » avec Loup-Denis Elion : résumés et critiques
France 2 lance L’art du crime saison 7 le lundi 19 février 2024 « la muse perdue ? » avec Armelle Deutsch encore Loup-Denis Elion. Quelle est l’histoire ? Distribution de l’épisode, avis critiques et audience TV.
Nicolas Gob et Eléonore Bernheim reprennent du service pour L’art du crime saison 7 avec 2 épisodes de 90 minutes consacrés aux peintres Vigée Le Brun et Botticelli.
Les acteurs récurrents Philippe Duclos et Benjamin Egner sont de la partie. Antoine et Florence sont déterminés à rester amis mais le coeur à ses raisons… de nouvelles enquêtes sur les traces de Marie-Antoinette à Versailles au grand maître de la renaissance italienne.
Audience TV L’art du crime du lundi 4 décembre 2023 : 4,4 millions de téléspectateurs et 22,1% de pda (leader)
Audience TV L’art du crime du lundi 11 décembre 2023 : 3,41 millions de téléspectateurs et 17,7% de pda (France 2 en tête)
Audience TV L’art du crime du lundi 19 février 2024: 4,35 millions de téléspectateurs et 22,8% de de pda
Qui est Nicolas Gob star de L’art du crime saison 7
L’acteur Nicolas Gob est âgé de 40 ans, il interprète le rôle d’Antoine Verlay dans L’art du crime depuis 2017. Auparavant, on a pu le voir dans Chefs sur France 2 ou encore Merci, les enfants vont bien.
Nicolas Gob va être le héros de Meurtres sur la côte fleurie ou encore de La fille de l’assassin aux côtés de Bruno Wolkowitch.
L’art du crime « la muse perdue » du 19 février 2024
Nouvel épisode inédit L’art du crime le lundi 19 février 2024 sur France 2 à 21H10 avec en guest Armelle Deutsch, Loup-Denis Elion et Boris Terral.
Dans son magnifique atelier, le corps d’une restauratrice en art est retrouvé… ainsi qu’un chef-d’œuvre que Florence identifie comme un Botticelli ! Antoine et Florence sont propulsés dans un terrible jeu de piste qui les conduit jusqu’au splendide musée Jacquemart-André. Mais l’amour courtois du maître italien de la Renaissance trouble notre duo. Antoine, désireux d’oublier Florence, sollicite en effet l’aide de Pierre Chassagne pour séduire une femme sur une application de rencontres… Florence, aussi, fait appel à la technologie pour rencontrer l’âme-sœur. Parviendront-ils à s’oublier l’un l’autre ?
Les critiques de presse
Télé Star donne TT « une intrigue relativement classique menée avec savoir-faire ».
Tv Grandes Chaînes donne 2 étoiles « Le tandem d’enquêteurs s’annonce complémentaire pour venir à bout d’une enquête tentaculaire ».
Le Parisien donne 3,5 étoiles sur 5 : Le « contexte historique et poétique inspire les enquêteurs dans leur stratégie de drague : chacun est à la recherche de l’amour sur une application de dating. On apprend au fil de l’enquête, de façon accessible et ludique, des éléments sur le travail des peintres de Florence (..) comme la star Sandro Botticelli ».
L’art du crime saison 7 « Versailles es-tu là ? »
Dans les jardins du Château de Versailles, un médium est retrouvé assassiné ! Antoine et Florence soupçonnent un groupe d’historiens amateurs passionnés de Marie-Antoinette qui se serait servi du medium pour trouver au Château un objet précieux qui appartenait à la Reine. S’agirait-il du célèbre collier de la Reine ?!
Pour infiltrer le groupe, l’OCBC sollicite l’aide de Juliette Mariton l’ex-fiancée d’Antoine, à la fois flic et médium. Mais, déstabilisée d’apprendre qu’Antoine et Florence ne sont toujours pas ensemble malgré les signes évidents du cosmos, elle se met en tête de les réunir, au grand dam du duo, bien décidé à rester seulement amis.
Les acteurs au casting : Catherine Jacob (Michele Dompierre), Dounia Coesens (Juliette Mariton), Bruno Lochet (Didier Kaddour), Elisa Erka (Sofia Dompierre)
Les critiques de presse
Télé 7 jours donne 77 à l’épisode de L’art du crime grâce à l’intrigue bien ficelé » plein de péripéties, d’émotions…d’anecdotes historiques et de drôlerie. On se distrait tout en se cultivant…Du grand art ».
2 étoiles pour Télé 2 semaines « des acteurs convaincants, pour une enquête captivante ».
2 étoiles pour Télé Cable Sat « une fois encore la saison repose davantage sur l’exploration savoureuse des richesses du patrimoine artistique françaiss que sur la solidité de ses intrigues policières et de ses personnages convenus »
J’ai retrouvé avec plaisir l’Art du Crime une des séries les plus originales des dix dernières années L’intrigue historico artistique se tient, Éléonore Bernheim charmante et sympa mène le jeux avec Nicolas Gob dans un rôle de flic rugueux qui lui va bien. Reste le second arc narratif commun à beaucoup de séries françaises le marivaudage entre les premiers rôles . Astrid Veillon /Stéphane Blancafort , Gwendoline Hamon /Alexandre Varga, Audrey Fleurot / Mehdi Nebbou pour n’en citer que quelques uns ont illustré ce thème . Ceci devient inévitablement un peu lassant au fil du temps car de plus en plus difficile à gérer pour les scénaristes. Espérons que les auteurs de la série parviendront à sortir de ce piège.
J’ai retrouvé avc plaisir l’équipe de l’Art du crime dans cet opus et notamment Éléonore Bernheim . Evidemment le marivaudage autour du site de rencontre était cousu de fil blanc comme on disait autrefois mais l’intrigue autour du Boticelli tenait la route . La série est arrivée en tête hier soir . Ce bon audimat permet d’espérer que la chaîne mette en route une saison 9 puisque la 8 est déjà dans la boite ce dont je me réjouirais.
J’ai passé de très bons moments à regarder cette série.
Une question aux scénaristes et acteurs : est-ce un parti pris de supprimer la négation « ne » ou bien est-ce devenu un fait inconscient chez ces personnes ? C’est particulièrement amusant dans la bouche du père spécialiste des langues anciennes (Pierre Chassagne), qui s’indigne de l’ignorance de faussaires dabns l’utilisation de dialectes italiens anciens, qui déclare plus tard à un autre propos et en colère « ils ont perverti le monde de la culture et de l’art ! », alors que lui n’utilise le « ne » que 2 ou 3 fois dans tous les épisodes de la série, sauf erreur.
Le langage de la série est riche en expressions, c’en est l’une des qualités. C’est étonnant de voir se côtoyer cette richesse et une sorte d’appauvrissement systématique de l’oralité, suppression générale du « ne » dans toutes les bouches, aucune liaison non obligatoire, et même omission de certaines liaisons obligatoires, et, évidemment, jamais de « ce sont des/les » ; « c’est » dans tous les cas est tellement plus simple…