Avis et audience Meurtres à Meaux (france 3) avec Julie Debazac et Carole Bianic le 21 septembre 2024
Meurtres à Meaux sur France 3 une nouvelle fiction avec Julie Debazac et Carole Bianic dans les rôles principaux. Quelle est l’histoire ? Quelle est l’intégralité du casting ? Les critiques et l’audience TV on vous dit tout.
France 2 lance Meurtres à Meaux le téléfilm policier de 90 minutes avec Julie Debazac (alias Aurore Daunier dans Demain nous appartient) et Carole Bianic (vue dans DNA, Capitaines Pennac, Cherif…). Diffusion le samedi 21 septembre 2024.
L’unitaire est réalisé par Adeline Darraux sur un scénario de Stéphane Brisset.
Le tournage s’est déroulé du 23 octobre au 17 novembre 2023 en région parisienne.
Audience TV Meurtres à Meaux du 21 septembre 2024 : 4 248 000 téléspectateurs et 25,2% de pda (leader)
Le casting Meurtres à Meaux de France 3 réunit Moïse Santamaria (connu pour son rôle de Manu dans Un si grand soleil), Guillaume Arnault, Cyril Lecomte, Grégoire Paturel, Delphine Rollin (vue dans Plus belle la vie), Diane Robert, Tom Novembre (vu dans Ici tout commence avec le rôle d’Hippolyte Du Chesnay).
Quelle est l’histoire pour Meurtres à Meaux diffusé sur France 3 ?
Un notable local et président de l’Amicale Mémorielle de la Grande Guerre de Meaux est assassiné lors de la reconstitution de la Première Bataille de la Marne, qu’il a organisée. Chargée de l’enquête, le lieutenant Karine Lelièvre (jouée par Carole Bianic) se voit adjoindre son ennemie jurée, le capitaine Isabelle Guercher (jouée par Julie Debazac). Elles commencent à régler leurs comptes, jusqu’au moment où elles découvrent que la mort de du notable est directement liée à leur passé commun…
Les critiques de Meurtres à Meaux le polar de France 3
Le Parisien donne 3 étoiles sur 5 : « le duo rebondit intelligemment de découvertes en déconvenues et on aime aussi la petite incursion de Tom Novembre en armurier ».
Télé 7 jours donne 77 au policier, estimant que les 2 actrices « forment un bien joli duo féminin. Deux capitaines de police aux profils différents : réfléchi et austère pour l’une et un brin fantasque pour l’autre. Les passionnés d’histoire apprécieront la reconstitution d’une scène de la bataille de la Marne supervisée par le Musée de la Grande Guerre de Meaux.
Bande annonce du téléfilm Meurtres à Meaux :
Julie Debazac (DNA) Moïse Santamaria (Un si grand soleil) Tom Novembre (ITC), la légiste (Plus belle la vie E.P.B.) : Les producteurs ne se sont pas longtemps baissés pour la récolte des comédiens de cette série.
Julie Debazac : sans surprise, même profil que dans DNA : flic surexcitée, masculinisée, vocabulaire calqué (p.tain), en instance de divorce ; j’ai bien aimé (!) la voir courir avec des talons de 8 cm et rattraper le supposé délinquant, tandis que sa collègue peinait en baskets !
Une chose à laquelle cette série n’a pas échappé, il s’agit du fond sonore ! Les séries ne sont-elles pas visionnées avant la diffusion et pourquoi la musique omniprésente et stridente n’est-elle pas mise en sourdine, visiblement la production laisse passer cet accompagnement musical désagréable, car trop fort, qui met à mal les dialogues parfois incompréhensibles – merci les sous-titres et je n’ai pas de problèmes auditifs.
Ce que je dénonce dans cette série est valable maintenant pour la-plupart des émissions, documentaires ou autres, dont les petites musiques sur un piano cassent les oreilles, je me surprends à baisser le son et ne lire que les sous-titres, c’est dommage !
Un bon point pour Carole Bianic (Cherif) que j’aime beaucoup.
Mettre une série (4 M 248 000) face au ‘Quiz des champions’ (2 M 110 000) qui arrive en 3ème position des audiences, c’est être sûrs que Fr 2 sera battue en audiences.
On est d’accord que les séries de France TV pêchent par leur approximation. Plusieurs d’entre vous le mentionnent régulièrement à juste titre pour les procédures, les uniformes, les raccourcis et autres invraisemblances. Mais là, dans cet épisode particulièrement raté, il y en a une belle erreur, elle est historique en plus de tout le reste qui est au ras des pâquerettes et le jeu insipide des comédiennes ! En effet, tout le scénario repose dès les premières images sur la reconstitution de la bataille de la Marne. Or un non spécialiste même situerait cette bataille en 1914, c’est le cas, c’est dit dans le téléfilm. Il y en a une seconde en 1918,, mais elle ne se passe pas à Meaux ou à proximité. Et que voit-on pour cette reconstitution, des soldats en uniforme bleu horizon. Or c’est une erreur scandaleuse. Les soldats français portaient encore lors de cette première bataille de la Marne, l’uniforme avec le pantalon garance, rouge si vous préférez. L’uniforme bleu horizon est mis en place en 1915, progressivement à partir de juin principalement ! Je vous ai dit, erreur monumentale. Ils ne pouvaient pas porter donc un tel uniforme en 1914 ! Ce n’est pas un détail, surtout par rapport à l’histoire, qui nous précise que la victime était attaché aux détails de la reconstitution !