Sambre (série France 2) : les critiques et audience TV de l’histoire inspirée de Dino Scala le violeur
Sambre la nouvelle série de France 2 dès le lundi 13 novembre 2023, fiction inspirée de l’affaire Dino Scala,
le « violeur de la Sambre » avec Alix Poisson et Olivier Gourmet. Retrouvez les critiques et l’audience TV de la série de Jean-Xavier de Lestrade.
France 2 lance la série Sambre dès le lundi 13 novembre 2023 (6 épisodes de 60 minutes).
Sambre est une fiction librement inspirée de faits réels. Une affaire judiciaire hors norme sur une série de viols et d’agressions sexuelles qui se sont déroulés dans le nord de la France sur une période de trente ans.
Le casting de la série Sambre de France 2 réunit Alix Poisson dans le rôle de Christine Labot, Olivier Gourmet qui joue Etienne Winckler mais aussi Julien Frison, Jonathan Turnbull, Noémie Lvovsky, Clémence Poésy, Pauline Parigot …
Sambre, c’est l’histoire d’un prédateur qui vivait au milieu de ses proies, dans l’indifférence générale et Jean-Xavier de Lestrade a fait le choix de suivre un personnage clé par épisode de la série Sambre de France 2.
Le scénario de Sambre la série de France Télévision est écrit par la journaliste Alice Géraud, qui a enquêté sur l’affaire (cf : son livre Sambre. Radioscopie d’un fait divers qui est paru en janvier 2023 aux éditions JC Lattès), et le scénariste Marc Herpoux.
Nouveau projet de Jean-Xavier de Lestrade
Jean-Xavier de Lestrade à qui on doit Sambre, Jeux d’influence notamment en tant qu’auteur et réalisateur, prépare la série Potages (6 épisodes de 52 minutes) sur les attaques terroristes du 13 novembre 2015 à Paris. Comme le dévoile Satellifacts on suit « les 11 personnes retenues en otage pendant 2 heures et demie par deux terroristes du Bataclan, avec lesquels ils ont dialogué. Ce groupe, dont le noyau dur est composé de sept personnes, s’en est sorti sans blessures physiques mais chacun se reconstruit à travers cette bande d’amis qui se retrouvent régulièrement et se soutiennent depuis huit ans. » Le nom Potages pour la contraction entre potes et otages)
Les audiences de la série Sambre diffusée chaque lundi sur France 2
Audience Sambre (France 2) le lundi 13 novembre 2023 : 3,46 millions de téléspectateurs et 18;6% de pda, France 2 presque leader (en concurrence avec SuperPapa de TF1 et Jenifer)
Audience Sambre (France 2) le lundi 20 novembre 2023 : 3,08 millions de téléspectateurs et 15,3% de pda (en concurrence avec Noël et plus si affinités sur TF1)
Audience Sambre (France 2) le lundi 27 novembre 2023 : 3,3 millions de téléspectateurs et 18,1% de pda pour le final, France 2 est leader.
Interview de Jean-Xavier de Lestrade pour la série Sambre :
Bande annonce de la série Sambre en diffusion sur France 2 :
Les critiques pour la série Sambre
- Télé Star donne TT à la série Sambre le thriller « qui raconte la progression de l’enquête sur le violeur de la Sambre ».
- Télé 7 jours est emballé par Sambre avec 7777 : « Le réalisateur Jean-Xavier de Lestrade va au delà du fait divers pour exposer, sur 30 années, la culture du viol inhérente à la société française. Une mini-série aussi poignante que nécessaire ».
- TV Grandes Chaînes donne 4 étoiles à la série Sambre librement inspirée de faits réels « un drame aussi fort que bouleversant sur une série de viols et d’agressions sexuelles ».
- Le Parisien donne 5 étoiles à la série Sambre : « incarnée avec justesse, la série bouscule pour mieux nous ouvrir les yeux ».
Les résumés en avance de la série Sambre de France 2
Retrouvez les synopsis des 6 épisodes de Sambre diffusé le lundi soir sur France 2.
Sambre épisode 1 (Christine la victime)
1988. Une femme ouvre les yeux à l’aube sur un chemin à l’écart de la route. Son pull est relevé au-dessus de la poitrine, et son cou porte des marques rouges. Elle s’appelle Christine et a une trentaine d’années. Elle se rend au commissariat mais peine à rassembler ses souvenirs. Les questions du policier la déstabilisent. Le même jour, Jean-Pierre, jeune recrue, fait son entrée dans le commissariat. Il veut s’intégrer à ses collègues, et n’ose pas critiquer leurs méthodes discutables. Au commissariat, les plaintes pour agressions sexuelles et viols s’accumulent, mais personne n’y prête attention.
Sambre épisode 2 (Irène la juge)
1996. Irène Dereux, jeune juge d’instruction, comprend qu’il y a un violeur en série qui sévit dans la région. Ce que personne n’a su ou voulu voir jusqu’ici… Elle est bouleversée par ces femmes détruites qui défilent dans son bureau, et veut tout faire pour qu’une enquête sérieuse soit menée. Mais elle doit faire face à un procureur très réticent sur cette affaire et des policiers récalcitrants à son égard. Ils ne comptent pas se laisser impressionner par une jeune magistrate de 27 ans.
Sambre épisode 3 (Arlette la maire)
2003. Alors que plusieurs femmes sont violées sur sa commune, Arlette Caruso, la maire communiste d’une petite bourgade industrielle de la Sambre, décide de briser l’omerta autour de ces viols pour mettre en garde la population féminine locale. Elle pousse une victime, une de ses employées municipales, à témoigner publiquement de son viol. Pendant ce temps, le violeur continue de sévir.
Sambre épisode 4 (Cécile la scientifique)
2007. À la suite d’une série de viols commis de l’autre côté de la frontière, une juge d’instruction belge décide de faire appel à une scientifique experte en géomatique. Il faut identifier la zone où habite le violeur. Cette méthode, inspirée des investigations menées par le FBI, vise à croiser différentes données : localisations des viols, horaires auxquels ils ont été commis ou état du réseau routier. Mais Cécile Dumont, la scientifique, n’a jamais approché une affaire criminelle…
Sambre épisode 5 (Winckler le commandant)
2012. Etienne Winckler, un commandant de PJ spécialisé dans les cold case, est saisi du vieux dossier du « violeur de la Sambre » qui n’intéresse plus personne. En explorant les archives de la police locale, il retrouve d’anciennes victimes, dont Christine, qui fut peut-être la première victime en 1988. Il prend la mesure de l’affaire : il est face à l’un des plus importants violeurs en série jamais vus en France. Il se plonge dans cette enquête jusqu’à l’obsession. D’autant que les viols continuent dans la région.
Sambre épisode 6 (Enzo le violeur)
2018. Un certain Enzo Salina est finalement arrêté grâce à l’enregistrement des images d’une caméra de vidéosurveillance, alors qu’il venait de tenter de violer une jeune femme. Enzo Salina est cet homme tranquille, père de famille, entraîneur du club de foot, apprécié de tous. Il aura agressé sexuellement et violé des dizaines et des dizaines de femmes, le matin, sur la route, en partant au travail. Jean-Pierre, le policier local, le connaissait bien. Christine le croisait régulièrement. Son portrait-robot était affiché au commissariat. Mais personne ne l’a jamais soupçonné ; un violeur en série ne peut être un homme ordinaire.
Gil je vais bientôt passer à la crypto monnaie 😉😉🤣🤣🤣
Gil… Ses grands-parents maternels qui vivaient au Luxembourg… Stéphane venait chez ses grands-parents en vacances. Lors d’un reportage, Stéphane a montré la maison (je connais bien ce quartier de la banlieue de la capitale.) Perso, je pensais que les parents du côté de sa maman étaient luxembourgeois mais en vérifiant sur wiki, je m’aperçois que je me trompais.
J’aime beaucoup Stéphane 🙂
C’est pas mal, dommage que la réalisation ne se mette pas vraiment dans les années concernées. Manureva d’Alain Chamfort n’est pas de 1988 mais de 1978. A cette époque, les gens ne mettaient pas des « en fait » tous les 3 mots. Et j’en passe…
Sorry d’en parler ici, mais Titou n’a pas ouvert de Post pour cette série (sauf erreur de ma part, maybe?); j’espère retrouver @elsa2 (et ptte d’autres forumeurs?) ce soir, dim, sur Fr3, devant « Professeur T ». 🙂
@Chris2, j’ai regardé en intégralité la série « Professeur J’ai aimé j’espère qu’il y aura une saison 2.
J’ai aussi regardé en intégralité la série « Sambre », passionnante et très bien interprétée, je connaissais l’histoire de ce violeur en série qui a sévi il y a une trentaine d’années dans le Nord et en Belgique .
Ca reflète bien le machisme masculin de l’époque et le mal être de ces femmes traumatisées à vie que l’on prenait parfois pour des fabulatrices.
Avec des comédiens que j’aime beaucoup (A.Poisson, O. Gourmet, C. Poesy, N. Lvovsky etc…) .
J’ai regardé les épisodes 3 et 4 hier soir, toujours la même qualité !
En ce qui me concerne je n’ai pas fait attention à la fameuse C3 😂, il y peut être des anachronismes dans le langage mais ils ne m’ont pas dérangés.
Je ne sais pas si dans la réalité c’était les mêmes policiers qui étaient en place pendant toutes ces décennies mais ils en prennent pour leur grade ! Un tel concentré de je-m’en-foutisme, de bêtise et d’arrogance ça laisse pantois…
@elsa2 vous parlez du machisme masculin, c’est vrai que cette série dénonce ces comportements mais je trouve qu’il évite tout manichéisme. C’est toute la société qui est mise en accusation. Cf. à ce sujet le comportement des femmes de ménage avec leur collègue dans l’épisode 3.
C’est une série féministe mais pour une fois on n’est pas dans la caricature des « méchants hommes » contre les « gentilles femmes » éternelles victimes.
On voit aussi dans l’épisode 3 que parfois avec les meilleures intentions du monde on peut être contre-productif (par ex. les actions de la maire)et que les choses ne sont pas toutes noires ou toutes blanches.
@Marco! C’est pâtisson le spécialiste des voitures !😉😉😂😂
J’aime beaucoup cette série, la lenteur, l’atmosphère qui est très bien rendue, même si au début le découpage par personnage principal m’a un peu décontenancée. Je suppose que par rapport à l’histoire du vrai violeur de la Sambre, le portrait robot devait être nettement moins ressemblant que dans le film, et que la police a mieux fait son travail et était un peu moins désinvolte ; le côté « féministe » m’a dérangée, seules les femmes semblent se soucier des victimes ?
Il y a tout de même une chose que je n’ai pas vraiment comprise, avait-on vraiment besoin de la « scientifique » et de ses travaux pour pouvoir délimiter une zone dans laquelle les viols ont été commis ? Une carte avec des points que l’on relierait vers le centre suffirait il me semble. Surtout que la scientifique fait le rapprochement avec l’utilisation d’un couteau, d’un bonnet, etc, et pas vraiment avec ses savants calculs. A moins que je n’aie rien compris (je ne suis pas du tout scientifique !) Bon c’est un détail qui n’ôte rien à la qualité de la série.
@ marco, pour les policiers il était bien plus pratique de rechercher un coupable correspondant à des profils de violeurs qui nous rassurent – des marginaux, des vagabonds… – , plutôt que d’arrêter un homme qui ressemble à ce que nous sommes. » l’enquête a été un fiasco total!
@Claudia , je suis allée voir le portrait robot de Dino Scala il est moins ressemblant que celui de la série , le visage du portrait est beaucoup plus émacié Dino Scala avait un visage plus rond mais à ce propos je fais un copié collé d’un extrait du livre d’Alice Géraud: « (La population) ignore qu’un homme est recherché et qu’il a probablement les traits de cet homme au visage rond et aux tempes dégarnies esquissés sur un portrait-robot.
À la demande de la juge, le portrait robot est cependant diffusé à l’ensemble des services de police et de gendarmerie du Nord, du Pas de Calais, de la Picardie, de la Somme et de l’Aisne.
Il est affiché dans la pièce qui sert d’accueil au commissariat d’Aulnoye-Aymeries. » Plus loin, la journaliste revient sur un fait glaçant : « Dino Scala passe boire le café au commissariat d’Aulnoye-Aymeries. (…) Ce jour-là, il remarque le nouveau portrait-robot accroché sur le mur. Dino Scala regarde cet homme au visage rond, aux yeux sombres et au crâne dégarni.
Le reflet est presque parfait. Il pourrait faire comme si de rien n’était. Mais non, il tend ses poignets en croix et les présente à l’un des policiers présents, et s’approche comme pout se faire menotter. « Ché mi » (c’est moi en patois) lui dit-il en montrant le portrait-robot. Dino Scala aime bien amuser la galerie. »
@Marco – novembre 21st, 2023 at 09:16: bonne remarque concernant le comportement des autres femmes de ménage face à leur nouvelle « collègue ».
Idem pour les démarches de la Maire, qui pense pourtant bien agir.
Sans doute l’époque…
J’ai apprécié les épisodes 3 et 4 d’hier et attendrai les 2 derniers next Monday.
Tout en lenteur…
Pourquoi insister sur lenteur? Perso n’ai pas eu cette impression🤔 C’est dans le bon ton, le tempo…
Lenteur je vois pas!
@elsa2 : Je pensais que cette anecdote du portait robot affiché dans le commissariat avait été inventée pour la fiction mais finalement ça s’est réellement passé comme ça ! 😱😱😱 C’est glaçant…
La lenteur ce n’est pas forcément qqchose qu’il faut voir négativement. Je dirai plutôt que c’est une série qui prend son temps. Elle prend son temps de s’attarder sur les sentiments des personnages, il n’y a pas des rebondissements spectaculaires toutes les 5 minutes ni des « cliffhangers ».
Elle est à l’image de cette affaire qui s’est étalée sur 30 ans.
@Marco Parfait votre commentaire. Tout en nuances!🙂
@Caro : Merci 😉 Et ce n’est pas parce que c’est lent que l’on s’ennuie.
Moi je ne me suis pas ennuyé une seconde. C’est une série qui fait réfléchir.
Oh les conclusions de la psy !!! ce n’est pas la première fois ni la dernière que ces « spécialistes » se trompent du tout au tout et font perdre un temps précieux, si ce n’est plantent totalement les enquêtes ! C’est comme les experts psychiatres et compagnie qui déclarent les coupables non dangereux, les font libérer, puis tout le monde pleure car une fois dehors, ils récidivent…. en pire….
@okoo : Oui les hypothèses complètement fausses de la psy sont un moment assez savoureux de la série ! On voit bien à quel point la psychologie n’a rien de bien scientifique et est plutôt basée sur des préjugés que sur des faits (même si bien entendu il y a des psys qui font leur travail sérieusement).
En entendant ça j’ai fait le lien avec le premier épisode et les hypothèses du policier pour qui il s’agit forcément d’un rodeur, d’un marginal, de quelqu’un de passage… donc au final d’un « étranger » et il ne songe pas une seule seconde que ça peut être qqun qu’il croise tous les jours…
Même niveau de qualité du début à la fin. Olivier Gourmet magistral. Et il faut aussi saluer la prestation de Jonathan Turnbull qui interprète « Enzo ».
Marco. Perso, n’ai pas tellement aimé les deux premiers épisodes, par contre les autres étaient très biens ! En plus je suis fan de Olivier Gourmet. ^^ Lorsque dans une B.A. d’une série Belge, je le vois, c’est certain : je vais regarder !!
@ziva : Il est bon dans tout ce qu’il fait. Honnêtement c’est quand j’ai vu qu’il était présent dans la bande-annonce que ça m’a donné envie de regarder la série.
@Marco Effectivement le casting est excellent! Pour ce qui de Jonathan Turnbull je l’ai trouvé aussi excellent entre autre dans son rôle de coach sportif, tellement vrai c’était bluffant. Après ne trouvez-vous pas que Alix Poisson était un peu trop dans le déni que s’en était presque agaçant, enfin c’était son rôle, c’était le personnage un peu exagéré il me semble….Sinon j’ai beaucoup aimé cette série! Incroyable que ce prédateur ait pú sévir pendant 30ans sans se faire épingler!
@Elena : Effectivement moi aussi je trouvais au départ qu’elle était un peu trop dans le déni. Mais lors du 5eme épisode on apprend qu’en fait elle s’est bien évanouie et n’a pas de souvenir précis de ce qu’il a fait ni combien de temps ça a duré. Même si ses vêtements retirés et son pantalon souillé ne laisse aucun doute sur ce qui s’est passé… Ca explique le comportement de cette femme qui est restée pendant 30 ans dans un déni (ce qui l’arrangeait aussi d’un point de vue de sa santé mentale de penser qu’il ne s’était rien passé, il n’y avait pas d’accompagnement psychologique des victimes à cette époque).
Je ne sais pas si c’est la réalité de cette victime de 1988 ou si c’est quelque chose qui a été inventé pour la fiction.
N’étant pas aussi pointue que vous ici, concernant les noms des acteurs, j’ai découvert celui de Olivier Gourmet, et je « copie » l’adjectif de @Marco: magistral! Comme le dit @Elena, C quand même incroyable que cet homme monstrueux ait pu sévir si lgtps!! Il est vrai qu’à cette époque, les gendarmes de cette brigade étaient tellement persuadés qu’il ne pouvait s’agir que d’un « étranger », un rôdeur, alors même que le portrait-robot ds leur salle d’accueil était si ressemblant! (était-ce déjà le cas à l’époque?). Concernant Alix P. (enfin, son personnage), C vrai qu’elle s’est « protégée » mentalement et n’avait en fait que peu de souvenirs, ayant really perdu connaissance; sans doute seule façon pr elle de « survivre »? D’autres victimes ont dû également voir leur (vraie) vie basculer… Et la femme du violeur refuse de voir les preuves? Tout comme leur fille, du moins au début? J’imagine qu’il doit être difficile d’admettre que son père est un s….d (quoique non; je n’arrive pas même à l’imaginer).
Pour terminer, cette série, assez difficile à regarder je trouve, était somme toute bien adaptée et surtout très bien jouée. (du moins pr moi).
@Marco, le personnage de Christine (Alix Poisson) n’a pas existé en fait Christine représente plusieurs femmes qui ont été agressées à l’époque.
@Chris2 concernant le portrait robot vous pouvez lire mon commentaire « novembre 21st, 2023 at 21:47 » j’explique avec un copié collé ce qui s’est passé.
@Elena ,cet homme avait une double personnalité il était effectivement un excellent coach sportif, il côtoyait des jeunes filles et apparemment il n’a jamais eu de gestes déplacés comme quoi il pouvait donner le change et passer pour Monsieur tout le monde à qui l’on confie ses enfants sans crainte.
On le voit jouer avec son petit fils comme un grand père aimant et « normal » donc pour sa fille cela a dû être difficile à accepter.
Intéressantes toutes vos explications concernant ce téléfilm.
@elsa2 – novembre 28th, 2023 at 19:09: sorry, pourtant, je vs avais lue. Merci encore pour ces explications.
Une double personnalité, effectivement…
@elsa2 : Merci pour vos explications. J’ai lu une interview du policier qui avait arrêté Scala et il expliquait que son personnage dans la série (le commandant Winckler) était également un « condensé » de plusieurs policiers, mais pour des raisons que l’on peut comprendre de lisibilité de la série ils avaient tous été regroupé sous un seul personnage.