Un Mauvais garçon (France 2) les avis + audience le 5 février 2020 avec Richard Anconina
Un Mauvais garçon sur France 2 le mercredi 5 février 2020 un téléfilm avec Richard Anconina : un drama policier réalisé par Xavier Durringer (La Conquête). Quelle est l’histoire ? Les avis de cette fiction et l’audience du mercredi sur France 2.
France 2 lance Un Mauvais garçon le mercedi 5 février 2020 avec Richard Anconina dans le rôle principal. Le tournage de ce téléfilm de 90 minutes déroulé en région parisienne en janvier dernier.
Synopsis Un Mauvais Garçon (France 2) avec Richard Anconina : Il joue Benoit Delage un prof de fac très apprécié, père de deux enfants et mari attentionné. Le souci c’est son fils de 15 ans victime d’un mal être existentiel. Théo se retrouve au commissariat pour un interrogatoire. Le passé de Benoît est soudain révélé.
Dans sa jeunesse, il a tué un policier et fait dix-huit ans de prison. Malgré son parcours exemplaire, il est rattrapé par ce passé et confronté à la rumeur, insidieuse et destructrice. En finit-on de payer sa dette à la société ? A-t-on, surtout à l’heure des réseaux sociaux, réellement le droit à une deuxième chance ? Ce film interroge, en particulier à l’heure d’Internet et des réseaux sociaux : l’auteur d’un crime qui a purgé sa peine a-t-il le droit de recommencer sa vie ?
Au casting de l’unitaire Un Mauvais garçon sur France 2 d’après un scénario cosigné par Sabrina Compeyron et Olivier Gorce accueille au casting Isabelle Renauld, Andréa Ferreol, Judith Magre, Jean-Claude Dauphin, Rachid Hafassa et Alexandre Desrousseaux.
Après la diffusion de Mauvais garçon, France 2 propose une nouvelle soirée continue avec Julien Bugier dès 22h30 avec un débat « Est-on coupable à jamais? ». A-t-on tous le droit à une deuxième chance ? Après une condamnation, après une peine de prison, a-t-on vraiment fini de purger sa peine et de payer sa dette ou demeure-t-on à jamais coupable ?
Le saviez-vous? Richard Anconina se fait rare à la télé et au cinéma ces dernières années. Il a joué dans La Loi de Christophe en 2016 sur France 3 ou encore au cinéma dans Stars 80 la suite.
Les critiques de la presse sur Un mauvais garçon diffusé sur France 2 : Télé Câble Sat donne *** car ce téléfilm se veut juste et fin dans toutes ses composantes que ce soit la réalisation, le scénario et l’interprétation tout en retenue. Le droit à l’oubli et la rédemption au coeur sont au coeur de cette fiction qui est forte, actuelle et finement incarnée. Télé Loisirs donne ** et juge Richard Anconina bouleversant dans le rôle de professeur rattrapé par son passé judiciaire. Télé Poche juge ** et trouve Richard Anconina étonnant avec ce rôle à contre-emploi qui met en avant la réhabilitation.
Audience Un mauvais garçon le mercredi 5 février 2020 (France 2) : 3,16 millions de téléspectateurs et 14,7% de pda (France 2 n°2 de la soirée)
Le thème est intéressant, exactement ce qui est abordé souvent le mercredi sur France 2, des thèmes qui font réfléchir. Mais ce qui m’intéresse plus encore que l’histoire, le casting. Plusieurs acteurs de ce téléfilm se font rares à la télé. Et pourtant ce sont des gens de qualité et de talent. Richard Anconina d’abord, l’excellent Jean-Claude Dauphin, Judith Magre. Je ne les cite pas tous, voir dans l’article. Petite remarque pour faire le lien avec mon commentaire pour la nouvelle série encore adaptée que va produire TF1 : il est possible aujourd’hui en France de faire des téléfilms ou séries qui ne sont pas pompés sur l’histoire vraie de personnes, pas adaptés de séries à succès étrangères ! On veut de la qualité et de l’originalité !
Bluffant. Il ne s’agit pas de d’excuser, mais de comprendre. Et la manière dont Anconina incarne cet hommeau au plus « juste », au plus près, permet d’aller plus loin que de considérer cet acte, ce crime de jeunesse. De regarder comme ce qu’il est, un homme, faillible oui, qui a continué d’avancer, su évoluer, et qui porte son passé, caché. Ce n’est pas seulement cet équilibre, cette retenue dans l’interprétation qui fait la beauté du film, on s’attache cet homme, cette famille. On en arrive à se questionner sur son jugement personnel. Comment aurait-on réagi face à cet ancien criminel personnellement ? C’est pourquoi le résultat est extrêmement puissant,fort à l’écran. A voir absolument.
Bluffant. Il ne s’agit pas de d’excuser, mais de comprendre. Et la manière dont Anconina incarne cet homme au plus « juste », au plus près, permet d’aller plus loin que de considérer cet acte, ce crime de jeunesse. De regarder comme ce qu’il est, un homme, faillible oui, qui a continué d’avancer, su évoluer, et qui porte son passé, caché. Ce n’est pas seulement cet équilibre, cette retenue dans l’interprétation qui fait la beauté du film, on s’attache cet homme, cette famille. On en arrive à se questionner sur son jugement personnel. Comment aurait-on réagi face à cet ancien criminel personnellement ? C’est pourquoi le résultat est extrêmement puissant,fort à l’écran. A voir absolument.
Suis de votre avis Denise : « rien que du beau monde au casting de ce film.. »
C’est vrai que M. Richard Anconina se fait rare au cinéma. Dommage !
Absolument d’accord avec vous!C’est un De Mes acteurs préférés depuis longtemps!
on a eu le plaisir de le revoir dans un téléfilm sur France 3 : la loi de Christophe. Il y est super. A la télé comme au cinéma, il se fait trop rare. Il y en a tellement moins bons que lui qu’on vient bien trop, notamment dans des séries !! Je vous laisse chercher les possibilités !
L’humain au centre ! Un grand monsieur ! Je serai devant ma télé pour le voir le 5 février. J’ai hâte.
Film absolument poignant, et débat fort intéressant, on peut se poser des questions quant au repenti en plus que des bons et excellents acteurs, cela nous permet de passer à autre chose, et faire la différence avec certains séries plus que ordinaires bravo !!!!!!!!
Et la place des victimes dans ce débat ? Fait-on un jour le deuil d’un enfant sauvagement violé, torturé et tué ? Maître Dupont Moretti est pour la réinsertion à tout prix, même s’il s’agit d’un crime sexuel. Pensez vous qu’un Dutroux a le droit à une seconde chance, qu’il a payé sa dette à la société ? Les enfants qu’il a tués n’auront jamais la chance de vivre et les parents n’ont de choix qu’entre la mort ou survivre dans l’indifférence générale. Avez-vous fait le compte des victimes de la récidive criminelle ? Souvenez-vous d’Angélique, 13 ans, assassinée à Wambrechies (59) par un récidiviste 20 ans après son premier viol. Guy Georges va pouvoir demander sa libération conditionnelle après avoir tué dans des conditions horribles 7 jeunes femmes, il a tué uniquement parce qu’il prenait son plaisir à faire souffrir, le croyez-vous guéri parce qu’il a fait 20 ans de prison ?
Comme dirait Francis Cabrel en parlant de la tauromachie, « Est-ce que ce monde est sérieux » ? or, il s’agit d’êtres humains, il ne s’agit plus de fiction.
Les soirs et les téléfilms se suivent mais ne se ressemblent pas ! Après la lamentable représentation de ces acteurs(trices) de pacotille de mardi (coupé la tv après un quart d’heure), on se laisse entrainer tout de suite par ces excellents acteurs(trices) qui rendent le film crédible. Malgré ce que j’ai lu sur certains post, je ne suis pas dure de la feuille puisque j’ai compris le moindre mot du début à la fin. Il faut croire que le problème ne vient pas de moi, enfin, de nous tous qui reprochons la mauvaise diction d’une majorité de ces petits acteurs(trices) parachuté(e)s dans ce métier on se demande par quoi ou plutôt par qui…
et vlan prends-en de la graine zazou ^^ mais que voulez-vous Lagenais, ni vous « s eturtout » pas moi pouvons y faire quelque chose au choix des castings. On doit se faire surtout à l’idée que nous ne sommes plus à l’époque de Jouvet, Fresnay, Gabin… hélas !
mais bon sang qui a dit à Anconina qu’il avait du talent ? Il mange ses mots et surtout n’est pas crédible . Il a toujours l’air de sortir de son lit . Et que dire de son « interprétation « de professeur d’université ? Mou de chez mou ,nous sommes très loin de Robin Williams qui lui suscitait l’enthousiasme et la passion de ses élèves . Cette interprétation n’enlève rien au scénario assez intéressant
Bien sûr il faut penser aux victimes, mais cela n’empêche pas de souhaiter la réinsertion des personnes qui ont commis des infractions, même si elles sont graves. Ou alors, si on part du principe que ces personnes sont définitivement perdues, à quoi sert de les juger ?
Pour les cas que vous citez (Dutroux ou Georges)), il s’agit de pervers au sens psychiatrique du terme, on ne peut pas mettre tous les délinquants dans le même panier ! Entre un jeune qui enfreint la loi et ensuite s’amende, et un pervers sexuel, il faut faire la différence ! Certains peuvent évoluer et mener une vie « normale » si on leur donne une nouvelle chance. D’autres, malheureusement, sont des malades qui relèvent de l’hôpital psychiatrique et de traitements lourds…Statistiquement ils sont une minorité par rapport au nombre de condamnés. La majorité des détenus sont parfaitement aptes à se réinsérer si on ne leur met pas trop de bâtons dans les roues.
Le débat qui a suivi le film était très intéressant, il montrait qu’on peut un jour avoir été délinquant, mais plus tard se sortir de ce mauvais départ et reprendre une vie respectable. La réinsertion est alors la meilleure protection de la société, elle est de l’intérêt de tout le monde !
zazou, ce n’était pas du tout contre vous ! ?
Je venais d’employer dans un com, les mots « dure de la feuille » ce qui explique mon p’tit clin d’oeil…. 😉
Bon week-end Lagenais 🙂
C est pareil pour moi,le scénario est intéressant par contre je n ai pas aimé l interprétation d Anconina ,on comprend ce qu il dit,mais parle trop bas,c est monocorde,c est lassant et oui c est mou,mou mou,ça manque de ressort.C est un acteur que j appréciais
pourtant mais aujourd hui je n aime plus son jeu.Il était tellement ennuyeux que je me suis endormie devant mon poste???
Le gros problème c’est que si on ne punit pas, qu’on ne punit pas assez ou qu’on ne tient pas assez assez compte du risque on remet à chaque fois en jeu la vie d’innocents car aujourd’hui on se sert d’une arme comme autrefois d’un briquet, on massacre des gens pour le plaisir, on tue des vieux pour 100 euros et 3 bijoux à deux balles et j’en passe.
Certains de part leur manque d’éducation, du milieu dans lequel ils ont évolué depuis la naissance et évoluent toujours malgré tout parce qu’ils aiment ça, n’apprennent jamais et ne veulent pas changer, pourquoi travailler quand on peut se servir gratuitement du bien acquis par le travail des autres et j’en passe. Quant à ceux qui ont la violence dans le corps, qui battent les femmes, les gosses parfois jusqu’à la mort, il est vain de croire que quelque chose va changer dans leur comportement, malgré souvent les plaintes des victimes qui restent lettre morte, ils recommencent encore et encore jusqu’à trop tard. En ce qui me concerne une victime due à un récidiviste voire multi récidiviste est une victime de trop.
Il ne faut pas croire que tous les délinquants le sont par erreur, beaucoup apprécient cette vie facile, ne craignent pas le risque ni même la prison, il n’y a qu’à voir le casier parfois éberluant de certains individus parfois jeunes, très jeunes avec plus de sang sur les mains que de crasse à avoir travaillé. Si certains peuvent arriver à changer, il faut quand même beaucoup de volonté pour s’en sortir, il faut apprendre, changer de milieu, de fréquentations et aussi d’habitudes, quand on se rend compte que des gens totalement ivres ou drogués ou même les deux et qui ont tué quelqu’un avec leur voiture, provoquent à nouveau le même genre d’accident, où est donc la prise de conscience ? Ce qui est accablant aussi dans le domaine de la délinquance et de criminalité c’est que bien peu avouent être responsables, ce ne sont jamais eux, même pas les c….. d’assumer leurs actes.
Quant à la réinsertion de par exemple les terroristes sur nos territoires ou ayant combattus en Syrie etc et qui évidemment hommes comme femmes chialent aujourd’hui pour revenir vivre à nos crochets je n’ai pas besoin de dire ce que j’en pense, la fille de voisins a été tuée dans l’attentat du métro de Bruxelles. Qu’on arrête de nous faire croire « qu’ils ne savaient pas quand ils sont partis » sauf qu’en attendant si ils l’avaient pu à l’époque ils nous auraient tous réduits à néant, nous les mécréants qui pourtant les avons accueillis dans nos pays, leur avons donné la chance de réussir leur vie et les avons plus que souvent à notre tour entretenus pendant des années par notre travail.