Avis et audience Dossier tabou (M6) le 22 mai 2019 : le Droit de mourir !
Dossier tabou sur M6 le mercredi 22 mai 2019 sur le sujet tabou du droit de mourir en France, c’est tabou. La Belgique et la Suisse ont légalisé l’euthanasie et le suicide assisté. Enquête inédite avec Bernard de la Villardière.
Dossier Tabou est de retour sur M6 pour un nouveau numéro le 22 mai 2019 avec le thème « Droit de mourir : un tabou français ». L’opinion publique est très divisée sur le cadre légal du droit de mourir. Chaque année, des français partent en Suisse ou en Belgique pour mettre fin à leur jour (euthanasie / suicide assisté).
Dossier Tabou sur M6 avec Bernard de la Villardière a suivi certains patients afin de mieux comprendre leur choix. Dossier Tabou est diffusé de manière exceptionnelle à la place de Zone Interdite et Capital.
– Sylvie atteinte d’un cancer incurable, elle veut pas connaître la déchéance et prépare avec son mari son euthanasie en Belgique. Claudette une militante française l’accompagne.
– Focus sur Marie Louie âgée de 105 ans qui se sentait inutile. Sa fille Yvette a accepté sa requête de l’accompagner en Suisse pour un suicide assisté.
– Hélène est âgée de 75 ans, elle souffre de problèmes articulaires. Elle ne veut pas être dépendante. Elle a décidé d’être euthanasiée en Belgique le jour qu’elle décidera.
– En Belgique, certains médecins trouvent la loi trop permissive notamment pour certains patients atteintes de troubles psychiques.
– Reportage sur le centre de soins palliatifs La maison à Gardanne en Provence. De nombreux patients souhaitent mourir…mais une fois leur douleur bien prise en charge, ils changent d’avis comme en témoigne Alexandre qui souffre d’un cancer du poumon.
=> En France, la loi interdit l’acharnement thérapeutique et oblige les médecins à soulager la douleur. Les soins palliatifs ne sont pas assez développés.
N’hésitez pas à laisser vos réactions sur ce reportage fort concernant le droit de mourir dans Dossier Tabou.
Audience Dossier Tabou sur M6 le dimanche 2 juin 2019 : 1,47 million de téléspectateurs et 7,2% de pda
J’ai connu, quand j’avais 18 ans, une amie qui souffrait tellement quand on l’a emmenée à la clinique, elle allait accoucher, qu’elle réclamait la mort, et pendant tout le temps du travail. On aurait du la lui donné, peut-etre ? Il y a bien des gens qui réclament la mort à un moment, et qui ne veulent plus à un autre. On ne peut pas, d’un coté, supprimer la peine de mort, et la tolérer « médicalement » si toutefois, il est établi que le patient veux mourir. Ce qui n’est pas sur, s’il n’a pas laissé de papier officiel. Comment peut-on accéder à faire mourir un enfant de 12 ans, parce qu’il veut mourir, parce qu’il est infirme ou victime d’une maladie ou d’un accident ? Pourquoi, certains médecins seraient contre l’avortement mais pour l’euthanasie ? Et puis, il y a le cas vincent lambert, ah ben oui, il faut en parler. Cette émission n’est pas anodine. Non, il n’y a aucun acharnement thérapeutique, il n’a pas de traitement, simplement de la nourriture et de l’hydratation. Les soinsqu’il a pour éviter les escarres etc…sont des soins donnés à tous les gens qui sont longuement alités. Simplement, l’épouse a dit que lui, dans son état, aurait voulu mourrir, mais où est la preuve ?
j’aime beaucoup les émissions de Bernard de la Villardière, il a beaucoup de courage et a donné son avis sur ce droit de mourir. Je pense que tout le monde a le droit de mourir sans souffrance, sans acharnement, et même on n’a pas eu le temps de rédiger sa volonté il y a des situations insoutenables où des médecins en accord avec la famille peuvent aider à cette fin. Personnellement j’ai prévenu et répété autour de moi ainsi qu’à mon médecin que je ne voulais pas qu’on s’acharne à me soigner, je ne veux pas que ma famille me regarde souffrir. Vincent en tant qu’infirmier a du voir des cas terribles et je pense que comme le dit son épouse que dans son cas il aurait préféré partir très vite. C’est un cas qui donne beaucoup à réfléchir autant du côté de son épouse que de ses parents.
Mon père très âgé avait un cancer généralisé, le coeur à « bout de souffle » (dixit son cardiologue) il souffrait beaucoup, ne savait plus se déplacer, nous l’avons soigné à la maison mais avant une opération le chirurgien nous a posé cette question « si il a un problème pendant l’opération que fait-on ? » avec beaucoup de chagrin nous avons décidé de le laisser partir lui qui nous disait « vive l’infarctus ça va plus vite ». C’est une décision dure à prendre mais il faut respecter ceux que nous aimons.
Mon conjoint est décédé d’une leucémie fin février. L’accompagnement a été très difficile. Je passe les détails d’une année où je me suis retrouvée très peu accompagnée par le service d’hématologie.
Une amie m’a parlé de l’HAD, l’hospitalisation à domicile.
A partir de la demande faite, tout s’est enchaîné..
Un accompagnement extraordinaire, je n’étais plus seule.
Ce service n’est pas mentionné dans le reportage.
Je suis restée à la maison pour ne plus laisser Philippe jusqu’à la fin.
Quand à 5h du matin j’ai fais le numéro de l’HAD sans donner mon nom pour dire que mon conjoint venait de mourir, l’infirmière m’a répondu «Mme D…… j’arrIve tout de suite »..
Je n’oublierai jamais .
Si, la personne en « coma artificiel » n’a pas laissé d’écrits ou il apparaitrait qu’il voudrait être euthanasié alors,il y a pas raison de le faire !
C’est à la « famille seule » de décider en dernier lieu si tel recours doit être et, non pas à la science médecine qui ont fait le « serment d’ Hippocrate » !!!_________________________________________________________
Si, on autorise la médecine a euthanasier alors, qu’elle est censée guérir tout les maux , c’est grave !
La « famille » a aussi sont mot à dire !Faut arrêtez de l’a détruire !
Ils vont trouver un système pour palier la pénurie de don,oui !!!
Quand les gens serviront de « viviers « pour le don d’organes alors, là ! Ils comprendront qu’on peut pas utiliser le corps comme si c’était un « sac de viandes » !!!
Toute vie est précieuse !
C’est pas à la science médecine sous serment d’Hippocrate de disposer de vie ou de mort sur des patients atteints de maladies incurables !Vous vous rendez pas compte de ce que ça ouvre dans la société et, dans quelle direction elle va !
C’est « criminel » si le patient n’a pas donné son accord par écrit ou lors d’un enregistrement !
En dernier lieu, c’est à la famille de décider si c’est « oui » ou « non » !