Avis et audience Les siffleurs (France 2) le mercredi 15 mars 2023 : le harcèlement de rue !
Les siffleurs une nouvelle fiction sur France 2 avec Stéphane Monpetit et Charles Berling les mercredi 8 et 15 mars 2023. Quelle est l’histoire ? Retrouvez les critiques et l’audience TV du téléfilm.
France 2 programme la mini-série Les siffleurs (2 épisodes de 90 minutes) le mercredi 8 et mercredi 15 mars 2023 à 21H10. Les épisodes sont réalisés par Nathalie Marchak et produits par icolas de Saint Meleuc.
Le casting réunit Nadia Fares, Charles Berling, Stéphane Monpetit (connu pour son rôle d’Eliott dans Un si grand soleil), Marion Delage, Flora Djien, Antoine CHappey, Olivier Loustau, Robin Migné…
Le tournage s’est déroulé à Paris et région parisienne entre novembre 2021 et janvier 2022.
Synopsis Les siffleurs (France 2) : quelle est l’histoire ?
L’étudiante parisienne Lila Rivière a porté plainte pour agression. Elle dirige le blog @lesSiffleurs qui dénonce le harcèlement de rue. Le lendemain, elle est portée disparue. Marianne Kacem, capitaine au sein de la cellule enlèvement de la police judiciaire, est chargée de l’enquête et va se confronter à une autre génération ainsi qu’à sa propre histoire.
Extrait vidéo Les siffleurs de France 2
Regardez les premières images Les siffleurs où la jeune Lila se fait harceler en pleine rue. En France, on estime que 6 femmes sur 10 ont déjà été agressées verbalement ou sifflées dans la rue par des hommes.
Les critiques de la presse pour Les siffleurs de France 2 et l’audience télé de la mini-série
77 pour Télé 7 jours qui estime que ce thriller a un scénario captivant avec la thématique du harcèlement abordée sous différents aspects. Mention spéciale à Nadia Fares qui livre une interprétation remarquable (femme blessée vs officier de police obstiné)
Tv Grandes Chaînes donne 2 étoiles au téléfilm : une intrigue aussi forte qu’émouvante sur le harcèlement de rue.
TT pour Télé Star, le harcèlement de rue et le sexisme sont au coeur d’une affaire policière délicate. Une intrigue soignée.
Télé Cable Sat donne 3 étoiles à ce téléfilm qui est « juste dans son approche et bouleversante dans son déroulement ».
Audience TV Les siffleurs (France 2) du mercredi 8 mars 2023 : 3,48 millions de téléspectateurs et 16% de pda (l’épisode Top Chef 2023 leader des audiences sur cibles FRDA -50)
Audience TV Les siffleurs (France 2) du mercredi 15 mars 2023 : 3,25 millions de téléspectateurs et 16,2% de pda, France 2 toujours leader.
Première image diffusée pour faire la promo de ce film : une fillie plutôt très très jeune se pavane dans la rue en jupe très très mini, échancrée qui plus est. Des mecs (certes très très stupides et lourdingues) commencent à l’embêter. Je ne sais pas vous mais moi, il y a comme un truc qui me gêne de prime abord.
C est dans l air du temps , des jeunes sur leur téléphone avec le risque que cela comporte, des comportements féministes, des viols…. scénario banal sans grand intérêt déçue par ce premier épisode
Excellent Nadia
Malheureusement on peut faire toute la prévention possible et inimaginable, tout spot publicitaire, toutes émissions télévisées, toutes manifestations, rien n’empêchera un homme de s’extasier gentiment ou lourdement sur le passage d’une fille en tenu légère.
C’est dans la nuit des temps !
Les plus anciens comme Marco ou McAdam se souviendront certainement quand ils allaient taquiner la gueuse quand elle se penchait pour prendre l’eau de la rivière! Ce n’est pas Brassens qui m’aurait contredit !(oups! C’est de l’humour)😂😂😂
Tout ça pour dire que le mâle restera toujours un mal pour la femme et malheureusement les mentalités ne sont pas prêts de changer.
Le problème c’est que le féminisme à outrance (réseau sociaux etc…) engendre des abus et on ne discerne plus le vrai du faux ! Un prof qui met une mauvaise note à une élève peut immédiatement se retrouver sur les RS avec une accusation d’attouchements !
Les profs d’EPS sont en voie d’extinction car corriger une élève sur une posture à adopter en gym, peut être suspect !
Comme aux USA on osera bientôt plus prendre l’ascenseur seul avec une femme
Combien de couples se sont formés dans les entreprises par un simple premier contact d’un gentil garçon complimentant une jeune fille sur sa nouvelle robe, sa nouvelle coiffure, sans que celle ci le prenne pour un harceleur ?
Le problème c’est qu’aujourd’hui les nouveaux « mâles » n’ont plus de limite et n’ont pas appris la signification du mot RESPECT !
D’ailleurs ils n’apprennent plus grand chose !
€gil : bien dit !
J’avais un a priori avant de regarder (post plus haut), j’ai voulu voir quand même si je m’étais trompée… non hélas !
Que des poncifs, de la tendance à outrance. Bien sûr un couple homo hommes et une lesbienne, c’est la norme à présent.
La « gamine » s’habille comme une p… et s’étonne qu’on ne la respecte pas ? Je suis bien sûr totalement contre harcèlement, agressions, etc… mais je m’interroge toujours sur la tenue de certaines filles, jupes de 20cm ou mini-shorts, nombril à l’air, décolleté indécent, cuissardes, etc… dans quel but ? se plaire à elles-mêmes ? à d’autres ! Je vais me faire massacrer mais voit-on autant de garçons se balader à moitié nus ???….
D’autre part, cette série abuse et donc n’est plus crédible : le père de famille est un pervers, le père de la copine est un pervers, une femme se fait massacrer par son mari, la fliquette s’est fait violer, etc… pas un homme de « normal » en ce bas monde ? que des harceleurs, des violeurs, des violents, des pervers, des tapeurs ???
Les mouvements féministes, à force d’exagérations en tout genre, vont lasser, exaspérer, et vont se décrédibiliser tout seuls.
De l’avis de Gil et Okoo à force on bascule dans l’excès et l’objectif contraire. Des caprices et désirs non rencontrés se transforment de suite en harcèlement et autres chantages, la provocation gratuite devient la normalité contre laquelle il est malséant de s’offusquer ou de dénoncer. En ce qui me concerne je ne comprends pas qu’on soit toujours aux concours de miss à moitié à pwal quand les mêmes dénoncent sur tous les tons le comportement des hommes. Si on se sert de son corps pour attirer l’attention et gagner titres et biens matériels il faut en assumer les conséquences, on ne peut pas être juge et partie.
@Gil : Hey je suis pas aussi vieux que ça ! 😡😂
Je n’ai pas regardé cette série, j’ai simplement vu la bande-annonce et ça m’a suffit. J’avais déjà l’impression d’avoir vu toute l’histoire.
Je n’avais pas osé laisser un commentaire ici car dès que l’on critique une fiction qui traite ce genre de sujet on est tout de suite accusé d’être un misogyne et un réac.
Il y a la magazine Marianne qui a fait un bon article en se moquant de cette série dégoulinante de bien-pensance et de politiquement correct.
Il y aurait beaucoup à dire sur le harcèlement de rue. Mais déjà il faudrait avoir le courage de dire QUI siffle et harcèle les femmes dans la rue et dans quels quartiers ça se passe… Je parie que cette fiction n’ose pas le dire franchement et met sûrement tous les hommes dans le même panier.
Comme d’autres ont abordé le sujet, il y aurait en effet aussi beaucoup à dire sur l’accoutrement de certaines femmes parfois très jeunes et leur hyper-sexualisation.
Pour info, ces dernières années dans mon entreprise il y a eu des rappels auprès du personnel pour leur dire que même en été les tenues de plage n’étaient pas autorisées sur le lieu de travail. Et ce n’étaient pas les hommes qui venaient travailler en marcel et en short…
Je l’aime bien cette serie etbje ne suis pas d’accord avec vos commentaires. Vous pensez vraiment ce que vous avez écrit ou c’est pour faire réagir la bien-pensance dont je suis? Vous pensez qu’on ne perçoit pas la différence entre drague et drague lourde? Vous pensez que les femmes doivent toujours se voir proies face aux hommes prédateurs et donc passer inaperçus ? Et vous pensez vraiment que la faute incombe surtout aux hommes jeunes issus de l’immigration ?
La bande annonce diffusée et que certains d’entre vous ont vu, a eu l’effet inverse estompté : c’est dommage doublement. Doublement, car c’était faire une mauvaise publicité à cette mini-série, et que cela a dissuadé certains d’entre vous (et d’autres probablement) de la voir.
J’ai vu les deux épisodes avant d’émettre un avis et je n’avais pas lu l’article ni les commentaires, …et encore moins vu l’extrait.
J’ai été happée par l’histoire bien montée, et pleine de rebondissements jusqu’au dénouement. La question du harcèlement de rue n’est pas le seul thème abordé. Entre autres, il y a aussi le déni de viol (la capitaine voit revenir les souvenirs de son propre viol, oublié pendant plus de vingt ans), le cyberharcèlement, la compensation face au harcèlement, la dépression post-partum (le jeune lieutenant voit son épouse s’enfoncer dans la dépression et a du mal à gérer cette situation avec un bébé et son boulot).Il y a encore d’autres thèmes secondaires, mais ces deux téléfilms sont riches, parfois trop.
Ils abordent la vie, sur certains sujets, et ça dérange encore.
Je suis profondément anti nouvelles féministes, à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Je constate juste que si on parle de ces thèmes, c’est qu’ils ont été longtemps occultés, voire niés. Plus de visibilité fait qu’on en parle plus.
La police est loin d’être prête à aborder ces sujets, on le constate avec l’une des premières scènes du premier téléfilm. La réalité nous montre malheureusement que des personnes victimes peuvent se faire rejeter et ne pas pouvoir porter plainte, avec des conséquences parfois dramatiques.
Je suis atterrée de la description caricaturale qui a pu être faite, c’est regarder les choses avec un prisme déformant, inquiétant. Il faut savoir être objectif ! Qui peut dire que les personnes présentées ne sont que des pervers, que des cas particuliers, et que la société ne comprend pas que ces personnes. Et bien oui, c’est vrai, mais la police, elle, a surtout affaire avec ceux qui posent problèmes, pas les gens sains. Crimes et délits, sont souvent commis par des personnes qui présentent différents types de pathologie ou ne se comportent pas bien ! C’est la base !
Je suis choquée que d’une manière plus ou moins subtile, on rejette tout sur ces jeunes qui s’habillent mal ! Mais vous savez les pervers, ils s’attaquent aussi à celles qui sont bien habillées ! Que dire des gens qui prennent fait et cause pour un agresseur d’une personne sérieuse et parfaitement bien habillée, c’est normal ? Et pourtant, je sais moi que ça s’est passé ! ça provoque un vrai dégoût de certaines personnes, il n’y a pas que les violeurs, harceleurs et autres agresseurs, mais sont tout aussi coupables, ceux qui leur trouvent des excuses. Vous ne pouvez pas imaginer combien ça bousille des vies. Ce sont les valeurs qui sont à revoir, le respect des autres.
Comme je l’ai déjà écrit, jamais je ne soutiendrai les extrémistes féministes qui créent plus de problèmes qu’elles n’en règlent. Mais si un téléfilm peut faire ouvrir les yeux des personnes qui ne bougent jamais, qui ont besoin d’avoir un recadrage de leurs valeurs, qui montrent du doigt celles qui s’habillent mal, et bien tant mieux !!!
@Cewimau :
« Vous pensez qu’on ne perçoit pas la différence entre drague et drague lourde? » Parmi les néo-féministes non, tout ça c’est mis dans le même sac. L’homme est « naturellement » un prédateur et la femme « naturellement » une victime.
« Vous pensez que les femmes doivent toujours se voir proies face aux hommes prédateurs et donc passer inaperçus ? » Entre la burqa et se trimballer à moitié à poil il y a peut être un juste milieu, non ? Et l’argument comme quoi on s’habille comme on veut n’est pas vrai. On vit en société et on ne peut pas faire comme si les autres n’existaient pas. Par exemple on ne peut pas se promener nu dans l’espace public. Je suis d’accord que dans un monde idéal une femme devrait pouvoir porter une mini-jupe dans le métro sans être importunée mais nous ne sommes pas dans un monde idéal et il faut bien tenir compte de la réalité.
« Et vous pensez vraiment que la faute incombe surtout aux hommes jeunes issus de l’immigration ? » Sur ce sujet je vous laisse la responsabilité de vos paroles… Une chose est sûre c’est que dans les différentes cultures de la planète la place de la femme n’est pas la même. Etre une femme en Afghanistan n’est pas la même chose que d’être une femme en Suède. Nous sommes désormais dans une société multiculturelle (pour le meilleur et pour le pire) il ne faut donc pas s’étonner de côtoyer des gens pour qui une femme, si elle n’est pas voilée, est une femme « disponible » et non respectable…
@Pernille! Excellent commentaire !👍
@Cewimau! Personne à part vous ne pas parle « de jeunes issus de l’immigration » ?
C’est peut être que vous l’avez pensé !
🤔🤔🤔
Bien vu Marco. D’autre part il est vrai que l’habit ne fait pas toujours le moine mais l’attitude ne ment pas j’ai connu dans mon milieu professionnel des femmes BCBG qui se conduisaient avec les hommes d’une manière aussi inappropriée qu’un mâle peut le faire et dès qu’elles avaient bu un verre en plus c’était complet. Mais il ne fallait rien dire sous prétexte d’émancipation de la femme, tu parles avec certaines on serait presque reparti au droit de cuissage. D’un autre côté la mini-jupe ça peut être joli mais quand on s’installe comme un mec affalée les jambes ouvertes ça dénote.
Charles Berling aurait il besoin d’argent pour se compromettre dans cette fiction fourre-tout où on veut traiter tous les sujets, réseaux sociaux, femmes battues, post-partum, agressions sexuelles etc… en 3h de temps ; avec quelques poncifs et idées toutes faites en prime. Nadia Fares en fait des caisses avec sa démarche de Cow Boy tour à tour, patronne odieuse et nounou au grand coeur. A défaut d’être intéressante, cette fiction offre de bons moments de rire. Comment en 2023, peut-on faire des fils aussi stupides. Y aurait il un public pour ça
On peut ne pas aimer, mais le minimum est qu’on respecte certaines choses. Comment peut-on écrire qu’on a ri devant ces deux téléfilms, il y a du cynisme ou autre chose pour en arriver là. Homme ou femme, je ne souhaite à personne de se trouver confronter à ce genre de situations, directement ou quelqu’un de sa famille. Je me moque vraiment de la direction qu’on a voulu prendre en faisant cette mini-série, comme je l’ai expliqué plus haut, j’ai des doutes parfois qu’on ait regardé la même chose. Une chose est sûre, il y a une réalité et il ne sert à rien de l’ignore et encore moins de s’en moquer ! En plus, c’est un téléfilm qui montre différentes formes de violence qui s’enchaine ou se complète. Rester trois heures à rire me paraît irrationnel, si on n’aime pas, on argumente, mais on n’écrit pas qu’on se moquer, car c’est aussi rire de toutes les victimes fictives et réelles, et c’est insupportable !
@Pernille, on ne nie pas des problèmes existants et à éradiquer, mais franchement, c’est cette accumulation ridicule de tous les problèmes actuels qui ne va pas ! Comme veulent le dire Dottie84 et d’autres, on tombe dans le burlesque là ! Il ne faut pas en vouloir à ceux qui mettent des posts négatifs à propos de cette série (posts justifiés) mais aux lois, aux plaintes non abouties, à la justice débordée ou trop clémente, aux réseaux sociaux, aux parents laxistes qui laissent leurs chères petites filles se conduire comme des traînées…. Ce n’est pas avec ce genre de fliquette cow boy face à cette succession d’hommes tous dépravés que les choses vont changer, au contraire.
On peut en rire dans la mesure où il ne s’agit que d’une oeuvre de fiction. A partir de là, on a encore le droit de la critiquer et de s’en moquer. Dans la presse cette mini-série est décrite comme une accumulation exhaustive de toutes les violences subies par les femmes, tellement de thèmes sont abordés qu’il y aurait de quoi remplir 10 téléfilms…
Moi je me demande juste pourquoi ils se sont sentis obligés de « noyer le poisson » en abordant tous ces thèmes, si ce n’est pour mettre tous les hommes dans le même panier (je vous parie que seuls les hommes homos ou issus d’une minorité ethnique ont le beau rôle) et surtout éviter de stigmatiser certaines minorités dans le phénomène de harcèlement de rue.
Dans les années 70 ou 80, même si tout n’était pas idéal, les femmes pouvaient se balader en mini-jupe sans être importunées ou prendre les transports en commun seules le soir. Maintenant ce n’est plus possible. Je vous laisse réfléchir à ce qui a changé depuis cette époque…
Je suis devant mon écran. Quelle violence dans les propos, les images, les clichés de la banlieusarde paumée, droit des victimes bafoué, retour sur des faits ayant déjà existé dans les années 1990, …, caricature réussie mais le problème n’est pas réglé.
Je n’aurais ptte pas dû lire vos commentaires avant mais… Je vais regarder ce soir la fin (pas pu voir le 1er épisode et pas envie d’un replay) et me faire mon propre avis… Come back later pr écrire ce que j’en ai pensé…
Les personnages et les situations de ce téléfilm sont caricaturaux, et c’est bien dommage. Les hommes sont soit des violeurs, soit des cyber harceleurs, et pour les femmes on va de la victime de viol ou-et de harcèlement à la dépressive post partum, trop c’est trop. Il n’y a que le personnage de Solenn que j’ai trouvé plus complexe et nuancé… Et on finit par trouver la commissaire jouée par Nadia Fares (excellente), très antipathique dans son acharnement à faire tomber l’homme qui l’a violée il y a 20 ans, ce qui est tout de même un comble ! Trop de thèmes emmêlés, et à force de vouloir tout dénoncer on finit par tomber dans l’outrance et le message ne pas pas.
Pour moi une deuxième partie bien décevante. Une fois de plus pas mal de remplissage pour tenir la distance . A force d’empiler les problèmes tendance on surcharge les personnages et l’histoire se dilue dans un bric à brac psycho-socio assez indigeste. Les personnages sont plombés par les objectifs moralisateurs si lourdement assénés qu’ils vont jusqu’à produire l’effet inverse. C’est vrai qu’ici «les bons» ne suscitent pas vraiment l’empathie
Eh bien… @Claudia – mars 15th, 2023 at 22:52 me permet de ne pas écrire la mm chose; je partage entièrement son mess!
« trop C trop »! Dommage; il y avait matière pourtant…
Mention spéciale pour Nadia Farès, que j’ai trouvée excellente ds ce rôle.
vu le 1er epis en entier , zappé au 2eme sur FR 3 : SECRET D;HISTOIRE : bien plus passionnant même si je n,aime pas STeph BERNE ,j,ai cessé au moment ou la policiére danse et a trop bu je trouvais cela ennuyeux … bref je n,ai rein perdu
beaucoup trop long, une seule séance aurait suffit. A la fin du 1er épisode on se doutait déjà de la fin de cette histoire.
En fait si j’ai bien compris c’est une fiction sur le harcèlement de rue (d’où le titre « Les siffleurs ») qui parle de tout sauf du harcèlement de rue. Pas assez politiquement correct sans doute de parler réellement de ce sujet…