A l’Etat sauvage Adriana Karembeu (M6) : les dessous du tournage au Népal
Indiscrétions A l’état sauvage spécial Adriana Karembeu le le lundi 8 janvier 2018 sur M6 : Mike Horn part à l’aventure avec l’ex mannequin au coeur du Népal. Les conditions climatiques s’annoncent très difficiles.
Mike Horn revient avec un nouveau numéro A l’état sauvage avec Adriana Karembeu (le dernier c’était Shy’m) le lundi 8 janvier 2018. La mannequin slovaque âgée de 45 ans part pour une aventure difficile avec des conditions climatiques dangereuses à 4200m d’altitude (température de -14, bourrasques de vent à 100km/h, brouillard , pluies torentielles). Le mental est bien présent pour se lancer dans cette expédition, elle ne veut pas abandonner.
Mike Horn et Adriana Karembeu vont se lancer dans une véritable expérience de survie. De tous les numéros tournés A l’état sauvage, c’est la plus difficile des aventures.
En pleine tempête, Adriana Karembeu va se retrouver exposée aux dangers de l’hypothermie car la température de son corps va descendre sous les 35°.
Les conditions de tournage d’ A l’état sauvage sur M6 avec Adriana Karembeu ont été telles qu’une grosse partie du matériel technique n’a pas résisté (10000 litres de pluie par m2 en période de mousson), ainsi de nombreuses séquences ont été tournées avec des mini-caméras du type GoPro.
Mike Horn est fier d’Adriana Karembeu pour son expérience A l’état sauvage sur M6 : « Adriana a fait preuve d’un courage exemplaire » (…) « J’avais l’impression que c’étai une petite princesse et j’ai découvert une vraie guerrière ». De son côté Adriana Karembeu avoue qu’après cette expérience hors normes, elle est une « nouvelle personne, c’est comme une thérapie ». M6 arrête A l’état sauvage mais va lancer une émission similaire Cap Horn.
==> Les avis et critiques sur Adriana Karembeu dans A l’état Sauvage avec Mike Horn sur M6
Mais qu’est-ce qu’on nous les casse avec cette girafe à toutes les sauces elle a tout essayé à la télé et n’est bonne en rien, laissez donc la place aux vrais pros déjà qu’il y en a de moins en moins au profit de nullités